C’est en 2021, que Berjona Mbemba est nommée sélectionneuse principale des équipes nationales des Diables Rouges Dames football, catégorie U20 et Seniors. Une mission, qu’elle a remplie amplement, avec un bilan mi-figue mi-raisin. Pourtant, des questions se posent autour de sa gestion des deux équipes nationales féminines de football des Diables Rouges du Congo. Analyse

Nul ne peut accuser Berjona Memba, sélectionneuse principale des équipes nationales des Diables Rouges du Congo Dames football, de ne pas se donner à fond dans son travail, afin d’avoir des meilleurs résultats. Ancienne footballeuse, Berjona Mbemba, est une femme du milieu. Elle sait comment comment fonctionne le monde des footballeuses, elle connaît les difficultés auxquelles elles font face, tant dans leurs clubs, qu’en équipe nationale.

C’est la raison pour laquelle, qu’au fil des années, et ce, depuis sa nomination à la tête des équipes nationales des Diables Rouges du Congo Dames, U20 et Seniors, elle s’est rapprochée de l’ensemble des joueuses, créant une sorte de familiarité, qui pose question dans sa gestion des équipes.

Berjona Mbemba, serait-elle encore objective dans ses choix ? 

Après les échecs des deux équipes nationales dames, sorties des éliminatoires dans lesquelles elles ont été engagées, il est évident de faire un bilan, de se questionner sur la gestion des équipes par la sélectionneuse, et sa capacité à faire qualifier nos équipes nationales dans une compétition internationale. En fait ce qui est reproché à Berjona Mbemba, c’est d’avoir perdu le sens éthique, morale et d’objectivité.

Non seulement, elle aurait semble t’il installée une forme de climat malsain au sein des équipes nationales, créant une sorte de cercle vicieux, entre les joueuses lesbiennes et non-lesbiennes, en plus de ça, elle est influencée dans ces choix de sélections et de classement. D’après des enquêtes menées par la rédaction de Ndembomag et que nous continuons à mener, il semblerait que la sélectionneuse se laisse tenter d’aligner sur le terrain, uniquement les joueuses qui pratiquent le lesbianisme.

Ainsi, pour celles qui n’adhèrent pas à ce mouvement d’illuminés LGBT, soient elles ne sont pas convoquer en équipe nationale, soit elles sont convoqués, mais mises sur le banc, et ce même quand elles ont capacité d’aider l’équipe. Un manque d’éthique et de moralité, qui devrait normalement faire réagir le Comité Exécutif de la Fédération Congolaise de Football.

Le silence et les yeux fermés de la FECOFOOT, qui interrogent ?

Nul ne doute, qu’au sein de l’institution qu’est la Fédération Congolaise de Football, que les plus hauts responsables soient caurant du phénomène de lesbianisme qui règne au sein des équipes nationales de football féminin des Diables Rouges du Congo, car c’est un secret de polichinelle. Tout le monde le sait, mais personne n’ose en parler, on ferme les yeux et on laisse couler.

Cependant, les dirigeants de la Fédération Congolaise de Football,et  la Commission en charge du football féminin, qui soutiennent Berjona Mbemba, oublient que ce ne sont pas toutes les jeunes filles qui s’intéressent au football, qui veulent devenir des lesbiennes.

Aussi, on ne peut pas obligrer à des jeunes filles devenir lesbiennes, juste pour leur donner une chance d’intégrer les équipes nationales de football. C’est la raison pour laquelle plusieurs parents refusent catégoriquement de voir leurs filles, integrer les équipes de football, de peur qu’elles deviennent lesbiennes.

La Fédération Congolaise de Football, devrait tout au moins avertir la sélectionneuse, pour éviter de s’attirer un scandale et de faire dénigrer le football féminin.

Il y a aussi, semble t’il le fait que la sélectionneuse Berjona Mbemba, a fait des équipes nationales féminines, une sorte d’Académie de Football personnel, où elle donne plus de chance aux filles qu’elle encadre et suit au quotidien. Comment peut-on en arriver là ? C’est la question que nous nous posons au sein de la rédaction de Ndembomag. N’y a-t-il pas au sein de la Fédération Congolaise de Football, une Commission de Suivi, d’Évaluation de la performance et de l’Éthique ?

Au regard de tout ce qui précède, il faut dire que la gestion de nos équipes nationales, qu’elles soient masculines, ou féminines pose énormément questions. Il y a encore un travail à faire de ce côté, pour espérer atteindre le niveau de professionnalisme des autres nations.

Pour l’instant, la Fédération Congolaise de Football n’a toujours pas fait un point à la suite des éliminations des équipes nationales féminines de football, visant à donner au public sa nouvelle vision et ses perspectives pour l’avenir en ce qui concerne le football féminin en général, et les équipes nationales féminines des Diables Rouges du Congo en particulier.