Football Féminin au Congo : pourquoi, la commission permanente de football féminin de la fecofoot est aussi responsable des échecs des politiques de sensibilisation & de développement du foot féminin au Congo ?

Football Féminin au Congo – Le football est un sport organisé, structuré et dirigé par une instance appelée fédération de football. Au Congo, c’est la Fédération Congolaise de Football, qui structure, organise et met en place les politiques de développement du football sur l’ensemble du territoire national.Pour atteindre et réaliser ses objectifs, la Fédération Congolaise de Football Officiel, s’appuie sur plusieurs organes internes, dont les commissions permanentes et ad hoc, qui ont pour fonction de conseiller et d’assister le Comité Exécutif, ainsi que le Secrétariat Général dans l’exercice de leurs fonctions.

En ce qui concerne le football féminin au Congo, c’est à la 𝐂𝐨𝐦𝐦𝐢𝐬𝐬𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐞 𝐅𝐨𝐨𝐭𝐛𝐚𝐥𝐥 𝐅𝐞́𝐦𝐢𝐧𝐢𝐧, que revient la charge d’œuvrer avec pragmatisme, en collaboration avec la 𝐃𝐢𝐫𝐞𝐜𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐓𝐞𝐜𝐡𝐧𝐢𝐪𝐮𝐞 𝐍𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧𝐚𝐥𝐞, la mise en place des politiques et stratégies de développement du football féminin au Congo. Cependant, cette commission de football féminin passe à côté de sa mission principale, qu’est le développement de la pratique du football féminin au Congo, contrairement à ce que l’on constate dans d’autres pays africains, comme le Cameroun, le Bénin, le Maroc, le Sénégal, le Mali, pour ne citer que ceux-ci.

Par exemple, il serait difficile pour la Commission de Football Féminin, de démontrer au 𝐂𝐨𝐦𝐢𝐭𝐞́ 𝐄𝐱𝐞́𝐜𝐮𝐭𝐢𝐟 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐅𝐄𝐂𝐎𝐅𝐎𝐎𝐓 𝐞𝐭 𝐚̀ 𝐬𝐨𝐧 𝐒𝐞𝐜𝐫𝐞́𝐭𝐚𝐢𝐫𝐞 𝐆𝐞́𝐧𝐞́𝐫𝐚𝐥𝐞, les actions qu’elle a menées au cours de la saison sportive 2022-2023, en faveur du développement du football féminin au Congo, chiffres à l’appui et par des indicateurs de performances.

𝐂𝐨𝐦𝐛𝐢𝐞𝐧 𝐝𝐞 𝐜𝐥𝐮𝐛𝐬 𝐝𝐞 𝐟𝐨𝐨𝐭𝐛𝐚𝐥𝐥 𝐟𝐞́𝐦𝐢𝐧𝐢𝐧 𝐨𝐧𝐭 𝐞́𝐭𝐞́ 𝐜𝐫𝐞́𝐞́ 𝐬𝐮𝐫 𝐥’𝐞𝐧𝐬𝐞𝐦𝐛𝐥𝐞 𝐝𝐮 𝐭𝐞𝐫𝐫𝐢𝐭𝐨𝐢𝐫𝐞 𝐧𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧𝐚𝐥 ? 𝐂𝐨𝐦𝐛𝐢𝐞𝐧 𝐝𝐞 𝐥𝐢𝐜𝐞𝐧𝐜𝐢𝐞́𝐞𝐬 𝐜𝐨𝐦𝐩𝐭𝐞𝐧𝐭 𝐥𝐚 𝐋𝐢𝐠𝐮𝐞 𝐍𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧𝐚𝐥𝐞 𝐝𝐞 𝐅𝐨𝐨𝐭𝐛𝐚𝐥𝐥 𝐅𝐞́𝐦𝐢𝐧𝐢𝐧 ?

À ces deux questions, nous parions nos mains que les membres de cette Commission de Football Féminin, présidée par Madame Lucienne Eugenie MOKOKO, seraient capables de donner des réponses factuelles. Pourtant, afin de juger les actions menées par Madame MOKOKO en faveur du développement de la pratique du football féminin au Congo, depuis plus de 10 ans qu’elle président cette commission, c’est de nous donner des chiffres : nombre de clubs créés au Congo ? combien de licenciées comptent les clubs ?, mais surtout de répondre aux questions importantes : Quelles actions et quelles réformes, a t’elle menée sur l’ensemble du territoire national, pour la sensibilisation et le développement de la pratique du football féminin. Soyez-sûr, qu’elle serait incapable de le faire.

À cet effet, 𝐪𝐮𝐞𝐥 𝐞𝐬𝐭 𝐥𝐞 𝐫𝐨̂𝐥𝐞 𝐯𝐞́𝐫𝐢𝐭𝐚𝐛𝐥𝐞 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐜𝐨𝐦𝐦𝐢𝐬𝐬𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐞 𝐟𝐨𝐨𝐭𝐛𝐚𝐥𝐥 𝐟𝐞́𝐦𝐢𝐧𝐢𝐧, 𝐚𝐮 𝐬𝐞𝐢𝐧 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐅𝐄𝐂𝐎𝐅𝐎𝐎𝐓, 𝐬𝐢 𝐥𝐚 𝐩𝐫𝐚𝐭𝐢𝐪𝐮𝐞 𝐝𝐮 𝐟𝐨𝐨𝐭𝐛𝐚𝐥𝐥 𝐟𝐞́𝐦𝐢𝐧𝐢𝐧 𝐩𝐞𝐢𝐧𝐞 𝐚̀ 𝐬𝐞 𝐝𝐞́𝐯𝐞𝐥𝐨𝐩𝐩𝐞𝐫 𝐚𝐮 𝐂𝐨𝐧𝐠𝐨 ? 𝐏𝐨𝐮𝐫𝐪𝐮𝐨𝐢, 𝐥𝐞 𝐒𝐞𝐜𝐫𝐞́𝐭𝐚𝐫𝐢𝐚𝐭 𝐆𝐞́𝐧𝐞́𝐫𝐚𝐥 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐅𝐄𝐂𝐎𝐅𝐎𝐎𝐓, 𝐧𝐞 𝐧𝐨𝐦𝐦𝐞-𝐭-𝐢𝐥 𝐩𝐚𝐬 𝐝’𝐚𝐮𝐭𝐫𝐞𝐬 𝐫𝐞𝐬𝐬𝐨𝐮𝐫𝐜𝐞𝐬 𝐜𝐚𝐩𝐚𝐛𝐥𝐞𝐬 𝐝𝐞 𝐯𝐞́𝐫𝐢𝐭𝐚𝐛𝐥𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐭𝐫𝐚𝐯𝐚𝐢𝐥𝐥𝐞𝐫 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐥𝐞 𝐝𝐞́𝐯𝐞𝐥𝐨𝐩𝐩𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐝𝐮 𝐟𝐨𝐨𝐭𝐛𝐚𝐥𝐥 𝐟𝐞́𝐦𝐢𝐧𝐢𝐧 𝐚𝐮 𝐂𝐨𝐧𝐠𝐨 ?

En effet, la FECOFOOT est en train de prendre un retard, par rapport aux fédérations africaines sœurs, qui mettent en place des politiques, simples, peu coûteuses, mais palpables, et ce, en partenariat avec des associations pour développer le football féminin dans leurs pays respectifs. Tenez par exemple, la Fédération Congolaise de Football Officiel était en avance par rapport au Maroc, la Côte d’Ivoire, et même Bénin, en matière de football féminin, aujourd’hui, ces pays sont nettement en avance, avec des championnats nationaux de football féminin composée de deux Divisions. Preuve, qu’un « Plan Marshall » a été menée par ses pays, pour développer le football féminin, sur leurs territoires.

Malheureusement, au Congo, la commission de football féminin, s’assoit sur ses acquis, et sur le terrain, on ne voit ni actions, ni projets visant à développer la pratique du football féminin. Aucune action, ni initiative en faveur du développement du football féminin à l’intérieur du pays, via les Ligues Départementales de Football, Ligue Départementale de Football du Pool, Ligue Départementale de Football de la Sangha, Ligue Départementale de Football de Bouenza, pour ne citer celles-ci, qui sont très actives. Aucune action, ni initiative, visant à favoriser la création de nouveaux clubs de football féminin au Congo. Depuis toujours, le nombre de clubs inscrits dans le championnat national de football féminin, n’a pas dépassé le nombre de 12.

Aussi, cette commission de football féminin, est incapable de prendre à bras-le-corps la problématique du championnat national de football féminin, très mal organisé par Ligue Nationale de Football Féminin. Tous les acteurs du football féminin du Congo, le disent, le championnat national de football féminin du Congo est très mal organisé, contrairement aux championnats nationaux de football féminin au Cameroun, au Bénin avec deux divisions, au Maroc avec deux divisions de football féminin, et même en RDC, pays voisins.

Le championnat national de football féminin, débute très souvent en retard, en général en fin de saison, pour quelques jours, puis s’arrête prématurément sans raison valable, et est relancé avant le début de la nouvelle saison, par un mini tournoi de Play-Off. Dans ces conditions, impossibles pour les équipes de football féminin, de détecter, de former et suivre le niveau de performance sportive des joueuses. Une mauvaise organisation du championnat, qui a eu un impact sur les performances des équipes nationales de football féminin et de Epah Ngamba qui a participé au tournoi qualificatif de la CAF Ligue des Champions Féminine Côte d’Ivoire 2023.

Enfin, malgré tous ces problèmes mentionnés plus haut, nous constatons avec amertume l’inaction de la Commission de Football Féminin, avec à sa tête Madame MOKOKO pour changer de paradigme. D’après le rapport 2023 de la FIFA, il est mentionné à la page 86, que la Fédération Congolaise de Football a investit 0.4 million de dollars des 11 millions de dollars de la subvention FIFA, dans le football féminin. Mais pour quel résultat ? That is the question !

𝐐𝐮𝐞𝐥𝐥𝐞𝐬 𝐩𝐞𝐫𝐬𝐩𝐞𝐜𝐭𝐢𝐯𝐞𝐬 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐥𝐚 𝐂𝐨𝐦𝐦𝐢𝐬𝐬𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐞 𝐅𝐨𝐨𝐭𝐛𝐚𝐥𝐥 𝐅𝐞́𝐦𝐢𝐧𝐢𝐧 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐅𝐄𝐂𝐎𝐅𝐎𝐎𝐓 ?

Le football féminin a le vent en poupe actuellement en Afrique. Le Maroc, le Bénin, et la Côte d’Ivoire, qui étaient loin derrière le Congo, en matière de football féminin sont dorénavant très loin, sinon parmi les meilleures nations africaines de football féminin ces dernières années. Rien que cette année 2023, la sélection nationale marocaine de football féminin a participé à la Coupe du Monde Féminine, en ayant atteint les huitièmes de finale pour sa première participation. Sur le vieux continent, deux clubs de football féminin marocain ont participé à la Ligue des Champions Féminine CAF, avec au final, une troisième et deuxième place sur le podium. Il en est de même, pour les pays comme le Cameroun, le Sénégal, le Bénin, l’Afrique du Sud qui se positionne comme meilleure nation africaine.

Rien n’est perdu pour la Commission de Football Féminin, pour sauver son image et celles de ses membres. Pour cela, elle doit obligatoirement voir ce qui se fait ailleurs dans d’autres pays, et essayer de l’appliquer au Congo, en adaptant par rapport à nos réalités congolaises. Voici les propositions faisons nous à la Commission de Football Féminin :

𝟏. 𝐏𝐨𝐮𝐫 𝐜𝐞𝐭𝐭𝐞 𝐬𝐚𝐢𝐬𝐨𝐧 𝐬𝐩𝐨𝐫𝐭𝐢𝐯𝐞 𝟐𝟎𝟐𝟑-𝟐𝟎𝟐𝟒, 𝐟𝐚𝐢𝐫𝐞 𝐥𝐞 𝐧𝐞́𝐜𝐞𝐬𝐬𝐚𝐢𝐫𝐞 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐝𝐞́𝐦𝐚𝐫𝐫𝐞𝐫 𝐥𝐞 𝐜𝐡𝐚𝐦𝐩𝐢𝐨𝐧𝐧𝐚𝐭 𝐧𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧𝐚𝐥 𝐝𝐞 𝐟𝐨𝐨𝐭𝐛𝐚𝐥𝐥 𝐟𝐞́𝐦𝐢𝐧𝐢𝐧, 𝐥𝐞 𝐩𝐥𝐮𝐭𝐨̂𝐭 𝐝𝐚𝐧𝐬 𝐥𝐚 𝐬𝐚𝐢𝐬𝐨𝐧, 𝐞𝐭 𝐧𝐨𝐧 𝐚𝐭𝐭𝐞𝐧𝐝𝐫𝐞 𝐥𝐞 𝐦𝐨𝐢𝐬 𝐝𝐞 𝐣𝐮𝐢𝐧.
𝟐. 𝐌𝐞𝐧𝐞𝐫 𝐝𝐞𝐬 𝐜𝐚𝐦𝐩𝐚𝐠𝐧𝐞𝐬 𝐝𝐞 𝐬𝐞𝐧𝐬𝐢𝐛𝐢𝐥𝐢𝐬𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧, 𝐞𝐧 𝐩𝐚𝐫𝐭𝐞𝐧𝐚𝐫𝐢𝐚𝐭 𝐚𝐯𝐞𝐜 𝐥𝐞 𝐦𝐢𝐧𝐢𝐬𝐭𝐞̀𝐫𝐞 𝐝𝐞 𝐥’𝐞𝐧𝐬𝐞𝐢𝐠𝐧𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐩𝐫𝐢𝐦𝐚𝐢𝐫𝐞 𝐞𝐭 𝐬𝐞𝐜𝐨𝐧𝐝𝐚𝐢𝐫𝐞, 𝐚̀ 𝐥𝐚 𝐩𝐫𝐚𝐭𝐢𝐪𝐮𝐞 𝐝𝐮 𝐟𝐨𝐨𝐭𝐛𝐚𝐥𝐥 𝐟𝐞́𝐦𝐢𝐧𝐢𝐧, 𝐞𝐧 𝐝𝐨𝐧𝐧𝐚𝐧𝐭 𝐜𝐨𝐦𝐦𝐞 𝐫𝐞́𝐟𝐞́𝐫𝐞𝐧𝐜𝐞 𝐝𝐞 𝐬𝐭𝐫𝐮𝐜𝐭𝐮𝐫𝐞𝐬 𝐝’𝐚𝐜𝐜𝐮𝐞𝐢𝐥, 𝐥𝐞𝐬 𝐜𝐥𝐮𝐛𝐬 𝐝𝐞 𝐟𝐨𝐨𝐭𝐛𝐚𝐥𝐥 𝐟𝐞́𝐦𝐢𝐧𝐢𝐧, 𝐞𝐱𝐢𝐬𝐭𝐚𝐧𝐭𝐬.
𝟑. 𝐅𝐚𝐢𝐫𝐞 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐧𝐨𝐮𝐯𝐞𝐥𝐥𝐞 𝐝𝐢𝐬𝐩𝐨𝐬𝐢𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐢𝐧𝐬𝐜𝐫𝐢𝐭𝐞 𝐝𝐚𝐧𝐬 𝐥𝐞 𝐑𝐞̀𝐠𝐥𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐝𝐮 𝐂𝐡𝐚𝐦𝐩𝐢𝐨𝐧𝐧𝐚𝐭 𝐍𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧𝐚𝐥 𝐃𝐢𝐫𝐞𝐜𝐭 𝐋𝐢𝐠𝐮𝐞 𝟏 𝐌𝐚𝐬𝐜𝐮𝐥𝐢𝐧, 𝐨𝐛𝐥𝐢𝐠𝐞𝐫 𝐚𝐮𝐱 𝐜𝐥𝐮𝐛𝐬 𝐯𝐨𝐮𝐥𝐚𝐧𝐭 𝐩𝐚𝐫𝐭𝐢𝐜𝐢𝐩𝐞𝐫 𝐚̀ 𝐜𝐞 𝐝𝐢𝐭 𝐜𝐡𝐚𝐦𝐩𝐢𝐨𝐧𝐧𝐚𝐭, 𝐝’𝐚𝐯𝐨𝐢𝐫 𝐮𝐧𝐞 𝐞́𝐪𝐮𝐢𝐩𝐞 𝐩𝐫𝐞𝐦𝐢𝐞̀𝐫𝐞 𝐟𝐞́𝐦𝐢𝐧𝐢𝐧𝐞, 𝐮𝐧𝐞 𝐝𝐢𝐬𝐩𝐨𝐬𝐢𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐨𝐛𝐥𝐢𝐠𝐚𝐭𝐨𝐢𝐫𝐞 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐥𝐞𝐬 𝐬𝐚𝐢𝐬𝐨𝐧𝐬 𝐬𝐩𝐨𝐫𝐭𝐢𝐯𝐞𝐬 𝟐𝟎𝟐𝟓-𝟐𝟎𝟐𝟔, 𝟐𝟎𝟐𝟔-𝟐𝟎𝟐𝟕, 𝐚𝐮 𝐫𝐢𝐬𝐪𝐮𝐞 𝐝𝐞 𝐯𝐨𝐢𝐫 𝐥𝐞𝐬 𝐜𝐥𝐮𝐛𝐬 𝐞̂𝐭𝐫𝐞 𝐩𝐞́𝐧𝐚𝐥𝐢𝐬𝐞́𝐬.
𝟒. 𝐀𝐜𝐜𝐨𝐦𝐩𝐚𝐠𝐧𝐞𝐫 𝐥𝐞𝐬 𝐜𝐥𝐮𝐛𝐬 𝐝𝐞 𝐟𝐨𝐨𝐭𝐛𝐚𝐥𝐥 𝐟𝐞́𝐦𝐢𝐧𝐢𝐧 𝐞𝐱𝐢𝐬𝐭𝐚𝐧𝐭, 𝐝𝐚𝐧𝐬 𝐥𝐞 𝐝𝐞́𝐯𝐞𝐥𝐨𝐩𝐩𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭, 𝐬𝐮𝐫 𝐥𝐞 𝐩𝐥𝐚𝐧 𝐭𝐞𝐜𝐡𝐧𝐢𝐪𝐮𝐞 𝐞𝐭 𝐟𝐢𝐧𝐚𝐧𝐜𝐢𝐞𝐫. 𝐏𝐚𝐫 𝐞𝐱𝐞𝐦𝐩𝐥𝐞, 𝐝𝐨𝐭𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐚𝐧𝐧𝐮𝐞𝐥𝐥𝐞, 𝐝’𝐮𝐧 𝐥𝐨𝐭 𝐝𝐞 𝐛𝐚𝐥𝐥𝐨𝐧𝐬 𝐞𝐭 𝐤𝐢𝐭𝐬 𝐝’𝐞𝐧𝐭𝐫𝐚𝐢̂𝐧𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭𝐬.
𝟓. 𝐅𝐚𝐯𝐨𝐫𝐢𝐬𝐞𝐫 𝐥𝐞 𝐩𝐚𝐫𝐭𝐞𝐧𝐚𝐫𝐢𝐚𝐭 𝐚𝐯𝐞𝐜 𝐝𝐞𝐬 𝐬𝐭𝐫𝐮𝐜𝐭𝐮𝐫𝐞𝐬 𝐞́𝐭𝐫𝐚𝐧𝐠𝐞̀𝐫𝐞𝐬 𝐨𝐮 𝐜𝐨𝐧𝐠𝐨𝐥𝐚𝐢𝐬𝐞𝐬, 𝐯𝐢𝐬𝐚𝐧𝐭 𝐚̀ 𝐜𝐨𝐧𝐭𝐫𝐢𝐛𝐮𝐞𝐫 𝐚𝐮 𝐝𝐞́𝐯𝐞𝐥𝐨𝐩𝐩𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐝𝐮 𝐟𝐨𝐨𝐭𝐛𝐚𝐥𝐥 𝐟𝐞́𝐦𝐢𝐧𝐢𝐧 𝐚𝐮 𝐂𝐨𝐧𝐠𝐨, 𝐬𝐨𝐢𝐭 𝐩𝐚𝐫 𝐥𝐚 𝐟𝐨𝐫𝐦𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐞𝐬 𝐞́𝐝𝐮𝐜𝐚𝐭𝐞𝐮𝐫𝐬, 𝐬𝐨𝐢𝐭 𝐩𝐚𝐫 𝐥𝐚 𝐜𝐫𝐞́𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝’𝐞́𝐜𝐨𝐥𝐞𝐬 𝐝𝐞 𝐟𝐨𝐨𝐭𝐛𝐚𝐥𝐥.

En espérant que le Secrétaire Général de la Fédération Congolaise de Football Officiel, ainsi que les 𝐦𝐞𝐦𝐛𝐫𝐞𝐬 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐜𝐨𝐦𝐦𝐢𝐬𝐬𝐢𝐨𝐧 𝐞𝐧 𝐜𝐡𝐚𝐫𝐠𝐞 𝐝𝐮 𝐟𝐨𝐨𝐭𝐛𝐚𝐥𝐥 𝐟𝐞́𝐦𝐢𝐧𝐢𝐧, lisent cette tribune, qui contient à la fois l’exaspération des acteurs et footballeuses, mais aussi un ensemble de propositions, visant à mutualiser les idées pour le développement du football féminin dans notre pays.

OFFRE DE SERVICE

Vous êtes une association sportive, club de football, institution sportive, vous souhaitez avoir un site internet de qualité professionnel.